Sur la toiture en haut, isolés des sons du bas par une épaisseur de 6mètres de béton.
La ville, lointaine et de laquelle ne montent pas les sons du niveau du sol, dont les sons parviennent au long des travées depuis les bords du toit.
Et les sons du ciel ouverts et de l’air entre les travées.
Et puis s’intéresser à l’extérieur, percer les murs, les rendre minces. Savoir ce qui filtre ou pas de l’extérieur vers l’intérieur et l’inverse. Ce lieu sonne-t-il en dehors ? Le dessus devient quelque chose d’intéressant, une suspension au-dessus d’un espace sonnant. Mais séparé d’une épaisseur consistante de béton.
Je remercie François Sagnes qui m’a invité à partager ce moment privilégié.